Je te deteste autant que j'ai pu t'aimer...
Je regrette de m'être prise dans tes filets...
J'avais envie de croire en l'amour encore une fois...
Et mon erreur fut celle de m'abandonner à toi...
J'ai cru à toute tes belles paroles,
je pensais que tu étais autrement...
Mais tu n'est pas différent!!!
Je te deteste autant que j'ai pu t'aimer...
Pour tout ce que tu as dit,
pour tout ce que tu as fait...
Rends moi mon coeur s'il te plait!!!
tu ne peux pas le brisé plus que sa...
Je te deteste... tellement...
Et tu ne merite aucune de ces larmes
que je verse à cause de toi...
Mon âme pleure, mon cœur saigne.
La douleur face à mon impuissance
Plane au-dessus de mon antre
Prisonnière, captive d’un monde
Que je ne maîtrise plus !
Je pleure des larmes de solitude.
Face cachée d’un isolement profond
Je suis une fleur fanée par ses doutes et ses peurs.
Recherchant dans les rêves une aide invisible
Dont la camisole me retient contre mon gré.
Fin d’un espoir du droit au bonheur
Echangé contre un désespoir de rêves brisés.
Lorsque féconde d’un esprit tortueux.
Je sens la raison s’éloigner de tout compromis.
Femme perdue errant dans la solitude.
Je pleure des larmes de sang
Moment d’orage dans un ciel
Obscurci de nuages noirs.
Moi, la femme poursuivie par la déconvenue !
Je sens mon corps se déchirer dans la misère.
De toutes ses souillures immondes
Introvertie, tapie dans l’ombre des méandres.
Je n’espère plus recevoir en moi la lumière de l’amour
Ayant très longtemps espéré ton retour
Aujourd’hui je me meurs de solitude.
Aujourd'hui je suis tellement brisée
Je n'arrive plus à respirer
Je me sens étouffer
Ma dernière heure est-elle arrivée ?
Chaque jour, pendant des heures j'endure
Cette vie si dure, si obscure
Comment ne pas lâcher prise ?
Quand votre existence vous semble si grise
Je tombre de très haut
La vie ne fait pas de cadeaux
Ca je l'ai bien compris
Car elle ressemble à une tragédie
Un orage traverse mon coeur
C'est l'horreur, la terreur
Mais pour combien d'heure encore
Survivrai-je avant la mort ?
On m'a bercé de tant d'illusion
Que je ne crois plus aux simples affirmations
Ce monde m'oppresse !
Je cris, hurle ma détresse !
Mais personne n'entend!
Tout le monde est sourd, et attend
Et maintenant qui croire ? Dieu, Allah?
Pourquoi pas Boudha ?
Détenue enchainée à la routine
Ma vie je pourrais en faire une contine !
Comme chacun, j'ai des coups durs
Je suis dans un tunelle obscure
Envahissant mon coeur
Débordant pendant des heures
Mes larmes ont tout inondé
Et on laissé des plaies
En ce moment je souris à la mort
Pour qu'elle vienne prendre mon corps...
Je suis là seule face à mon destin
Je dois tout faire pourtant pour oublier mon chagrin
On m’a toujours dit que j’étais la plus forte
Et pourtant je ne trouve pas la clé de cette porte
C’est difficile à ouvrir et si impossible à pousser
Avant pourtant je m’en sortais quoiqu’il puisse arriver
Aujourd’hui je me sens faible, petite et si fragile
Je me sens aussi inutile, vraiment inutile
J’ai besoin peut-être de partir
De tout recommencer, réapprendre à rire
Je sais que malgré tout que j’y arriverai
Mais plus comme avant car j’ai changé
J’étais toujours souriante et j’avais une telle joie de vivre
Je n’avais jamais montré mes sentiments mais j’en suis ivre
Tout ce que j’ai caché, aujourd’hui me revient à l’esprit
Tous me hantent, jusque même mes derniers cris
Il faut savoir se relever
Une fois de plus qu'on est tombé
Mais là, mes bras sont bas
Cette fois, la force n'est pas là
Je souffre trop de cette perte
Mon coeur est tombé en miette
Petit ange, de là haut veille sur moi
Petit ange ne m'abandonne pas
Donne moi la force de continuer
L'envie d'à nouveau à espérer
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