Plus le temps passe,

Plus je me lasse,

De cette existence,

Qui n'a aucun sens!

Ma tristesse ne s'éfface,

Que lorsque tu m'enlaces.

Et que tu m'embrasses.

Afin que l'on s'unissent.

C'est dans ces rares moments,

Que pour moi le temps,

N'est plus important

Parce que tu es présent...

Mais jusqu'à quand,

Durera ce moment?

Avant que le néant,

Me reprenne ce moment.

Pompier charmeur,

Pompier blagueur,

Pompier rieur,

Dieu que tu es charmant,

Dans ton uniforme resplendissant.

L'extase ha oui mais quel extase;

Celui d'une nuit;

Ou celui de toute une vie!

J'ai envie de ton corps sur le mien,

De mes seins dans tes mains.

J'ai envie que tu soude,

Ton corps sur le mien.

Pour une nuit;

Ou pour la vie.

Fais moi rêver encore une fois;

Prends moi dans tes bras.

Dessine la courbe de mon corps,

Qui t'appel et en redemande encore.

Laisse toi aller au son de mes soupirs

Car ils sont le secret de mes désirs.

Donne moi encore de cette ardeur

Et ne le fait surtout pas avec pudeur.

Donne moi l'envie de rire ou de pleurer

Mais surtout l'envie de t'aimer.

Je te caresse du bout de mes ongles,

Mes baisers voluptueux stimules ton ardeur amoureux

Laisse toi emporter par ma peau tendre,

Tes doigts prennent possession de mes cuisses.

Les tendres pressions de tes lèvres sur le lobe de mes oreilles.

Avec un enfouissement de ta langue,

Du rapprochement sexuel avec tes mouvements de corps a corp.

Le besoin de me dévêtir, je me retrouve nu, je me sent désirable.

Dévêtue de mes vêtements nous voilà enlacés.

Regarde mes seins qui sont deux fruits que tu prends a pleine mains;

Nous entrons dans un prélude amoureux.

Recherchons le contact de notre peau;

Je sent ta chaleur, nos joues se frôles.

Serrer ton corps, toi tu tiens mes hanches,

Nos mouvements deviennent simultanés.

Nous sommes en harmonie dans nos jeux amoureux.

C'est au son d'une note de musique,

Que nos corps s'enflammes, se donnent, jouent d'un même accord.

Mes yeux pétillent quand de ta bouche tu viens exacerber mon intimité.

Sentir tes mains glisser sur ma peau,

Comme l'eau descendent un cour d'eau.

J'en frémis et te supplie de ne pas t'arrêter.

Je me consume quand tu explores,

 de ton organe renfle ma douce cavité,

Humide et brûlante qui ne demande qu'a exploser.

Il n'est plus beau moment,

Que deux corps repus d'amour;

Allonges l'un contre l'autre,

S'adonnant à quelques caresses d'apaisement.