Mes yeux appeurés de larmes de trahison;
Mon coeur éclate en sanglot dans la douleur;
Mon âme meurtrie vie dans la mortification;
Ma vie endeuillée! ce mal être me fait souffrir;
Estompé l'hémorragie qui vide mon corps de son essence.
Adieu ses yeux appitoyant sur mon sort;
Avec le temps cette gigantesque plaie ce cicatrise.
Certe, je suis décue mais debout, forte;
Pour affronter les ouragans du destin;
Car tant que cet organe rouge bat,
L'amour ne sera jamais en déclin.