dans le feu des pourquoi
dans la peur de souffrir
je laisse chaque fois
la solitude m'envahir
un esprit fait de paradoxe infinis
je ne saurai l'expliquer autrement
que comme venant le jour la nuit s'enfuit
tout comme l'amour quand vient le néant
deux mondes alors réunis
mon coeur et mon corps
qui dans un même accord
ne comprennent pas la vie
des mots un peu trop répétés
mais si souvent rejetés
par la folie des hommes
piétre âmes que nous sommes
pourquoi je le dis
pourquoi ne le dirais je pas
les dilemmes enfouient
dans ce monde que je n'aime pas